Chers tous,
J’ai découvert avec intérêt ces communications sur « la femme fontaine ».
Cette appellation, en soi, ne relève t’elle pas d’une certaine rareté, d’un aspect un peu exceptionnel,voire peut être du fantasme ?
J’ai examiné avec intérêt les planches anatomiques révélant une « prostate féminine ».
Objectivement, je n’ai pas d’opinion arrêtée sur ce point.
En revanche, j’ai effectivement été parfois étonné par des émissions liquides « surabondantes » :
- Emission translucide, filante et légèrement visqueuse provenant du sexe d’une jeune femme en position debout, avant le début de tout attouchement et de tout rapport ;
- Emission de couleur franchement blanche et non visqueuse venant baigner un coït assis face à face ;
- Emission abondante, translucide et non visqueuse venant réellement inonder une fin de rapports sans mélange manifeste avec un écoulement de sperme.
Ces constatations sont difficiles à relier avec de quelconques aspects pratiques des relations sexuelles et sont probablement attachées à chaque femme prise dans leur individualité physiologique. Je suis toujours un peu navré de lire des textes «à vision érotique » vantant les sexes débordant de miel…
En revanche, il me semble qu’il y a des « prédispositions » .Les deux premières constatations ont été relevées, a plusieurs reprises, chez des femmes de couleur. La dernière chez quelques femmes européennes particulièrement « motivées »
A l’inverse, combien de femmes, sans aller très loin dans l’âge, auraient avantage à recourir à une lubrification « pré coïtale »éventuellement discrète !
Ces remarques, nous en conviendrons tous, et moi le premier, n’ont pas de valeur très scientifiques en raison du très petit panel d’observations.
Il ne faudrait certainement pas ,a mon avis, que cet « aspect » physiologique constitue une inhibition de plus dans des rapports déjà un peu compliqués dans la vie sexuelle’ un couple.
Bien à vous.
Electre