Nombre de back room parisiennes offrent des équipements dédiés au BDSM ou SM.
Bien évidemment ,on peut aussi considérer que ces équipements ne sont pas uniquement orientés dans ce sens mais ouverts à de simples variétés de pratiques érotiques.
Soit,mais,comme le précise Hélène dans son préambule,tout est dans l'intention .
Dans cette acception,on ne saura pas facilement si les acteurs d'une séance de croix de St André,de Sling,de tabouret de fist...se placent dans l'une ou dans l'autre intention.Peut être d'ailleurs se placent t'ils dans les deux mélangées ?
Il n'y a,à mon sens pas de réponse à la question.Lorsque l'on se rend dans un établissement Sauna \Back room,notre "intention n'est déjà pas clairement définie,même si l'on s'est "préparé" sur le plan physique.
Il y a en effet de très nombreuses variables de situation.Quelle heure est il,dans quel état est on (déjeuner ou dîner légèrement arrosé ou plus !)est on seul ou accompagné ?....
N'y a t'il pas cependant cette pulsion interne commune vers le "glauque"?
Avec l'expérience,bien sûr,l'on sait cependant ,en fonction de l'heure et des établissements,le genre de situation que l'on va rencontrer,on la recherche obscurémment,on sent au creux de soit une pression,une pré-excitation vers l'inconnu de la rencontre anonyme.Celle ci fait partie intégrante du BDSM,si c'est celà que l'on recherche.Je souscris pleinement aux expériences relatées par Baghera,qui l'exprime très fortement sous un autre angle et apparemment dans un autre cadre.Elle y décrit la "jouissance" de l'esclave .
Elle est noire,nous dit elle,et la Back room est obscure!
A suivre
Electre